Rencontre [PV Calliopë A. Faerys, Ross J. Teaser et Raff F. Akarie]

<<Ma punition mais tu as quoi comme genre de dictature chez toi ? Bon si tu veux un punition tu vas en avoir une celle de relever tes fesse du sol et de me tutoyer. Et arrête de dire que tu est une méprisable créature>>

Je le relava mais cruche comme je suis je glissa encore et atterrie sur les fesses.

<<Je suis trop forte je vais finir par croire que je suis amoureuse du sol>>

Je viens d'avoir une idée.

<<Dit je voudrais vraiment que tu vienne avec moi demain chez moi pour que je fasse je ne sais quoi puis après on pourrais aller a la forêt de Furan l'histoire de te faire changé d'aire.>>

Il la regarda médusé. Cette fille le surprenait chaque fois qu'elle disait quelque chose. Etait-il bien réveillé ou bien endormi et prisonnier d'une sorte de rêve bizarre ? Bizarre peut-être mais pas désagréable, réalisa-t-il. Bien qu'il fut gêné des libertés que prenait la princesse à son égard, il appréciait qu'elle soit gentille envers lui. Nul doute qu'il ne le méritait pas et il ignorait totalement pourquoi elle agissait ainsi. Mais elle était noble après tout, cela était peut-être au-delà de sa compréhension.
- Dis, je voudrais vraiment que tu viennes avec moi demain chez moi pour que je fasse je ne sais quoi puis après on pourrait aller à la forêt de Furan, histoire de te faire changer d'air.
La princesse Raff l'invitait chez elle ? Lui, le ruffian de bas étage ? Comment était-ce possible ? Jamais il n'aurait imaginé avoir une conversation telle avec une princesse. C'était carrément surréaliste ! Toutefois il ne pouvait pas refuser. Elle avait beau agir familièrement avec lui, elle n'en demeurait pas moins une princesse et il ne devait jamais l'oublier... Elle venait d'un monde qui ne lui serait jamais accessible.
- Comme tu le souhaites, répondit-il finalement. Il hésita un instant. Quand tu dis pour que tu "fasses je ne sais quoi", qu'est-ce que tu entends par-là ? Il vous faut peut-être un domestique ? Il faudra demander à ma Dame mais je ne pense pas qu'elle puisse te refuser cela.

<<Le je ne sais quoi de ma phrase est ce que ma mère attend de moi pas de toi je te rassure.>>

Je me relevais enfin car j'étais rester assis tout ce temps et le sol est froid.

<<Peut être qu'un jour on arriveras aux dortoirs>>

J'essaye de tout faire pour qu'il ce sente a l'aise mais cela est pas facile. Il est dans son monde déconnecter du notre. On arrive dans un couloir rose claire je sais que celui-la indique qu'on y est presque et oui chacun ces repère débile. On traverse donc se long couloir car je crois bien que c'est le plus long que je connaisse. J'avance un peut plus doucement pour je ne sais quel raison surement pour méditer sur ma journée car je crois que j'en ais bien besoins.

- Le je ne sais quoi de ma phrase est ce que ma mère attend de moi pas de toi je te rassure.
- Oh, très bien. Tu n'as pas besoin de me rassurer. J'ai été élevé comme serviteur. Ma Dame aimait à me rappeler que j'étais tout à la fois : boniche, gouvernante et femme de ménage.
Il s'arrêta en se rendant compte qu'il avait utilisé le féminin. Ca lui arrivait parfois, à force de se faire traiter de tous ces noms, il en avait pris l'habitude.
- Peut-être qu'un jour on arrivera aux dortoirs.
C'est vrai que cela faisait un petit moment qu'ils marchaient en silence. Ils passèrent un couloir rose, leur pas résonnant contre les murs. Ils avançaient lentement, Calliopë calquait son rythme à celui de la princesse pour ne pas la devancer. Cela aurait été impoli.
Peut-être était-ce à cause de son caractère ou que la princesse l'avait suffisamment mis en confiance mais il osa ajouter dans le silence méditatif de Raff :
- J'aime beaucoup ton collier. Il est magnifique.
C'était un collier en or blanc qui lui pendait autour du cou.

<<J'aime beaucoup ton collier. Il est magnifique.>>

A cette phrase je me retourna vers lui et lui dit :

<<Oui moi aussi je le trouve beau mais c'est beaucoup plus qu'un simple collier. Cela est toute ma raison de vivre car ses l'une des rare chose que mon frère ma laisser avant de disparaitre je ne sais ou. Je ne me permettrais pour rien au monde de le perdre.>>

On disant cela j'avais continue a marcher a reculons pour pouvoir voir Calli puis je me pris un poteau et me ramassa par terre en criant <<C'est la 5em fois aujourd'hui c'est pas possible j'ai déjà dit que j’aime pas le sol mince.>> Je voulus me relever mais je vis Calli tout paniquer qui me tendis la mains, une mains que je seras pour me relever.

Le collier appartenait donc à son frère. Calliopë fouilla dans sa mémoire mais rien ne lui vint concernant le Prince de l'Air. Il avait donc disparu... Cela était bien étrange. Il sentit un élan de pitié s'étendre pour Raff. Il la comprenait un peu. Lui il n'avait jamais connu ses parents. Sa mère était morte en couche et personne ne lui avait jamais dit qui était son père. Le seul souvenir qu'il avait de sa mère était un pendentif à l'intérieur duquel se trouvait un minuscule portrait de cette femme qu'il ne connaissait pas mais à qui il devait la vie.
Il était trop occupé par ces pensées pour s'apercevoir que la princesse se dirigeait tout droit sur un poteau. Et elle ne manqua bien sûr pas de se le prendre sur la nuque et de tomber à terre. La pauvre ! Elle cria sa frustration et Calliopë se précipita pour l'aider à se relever. Il avait l'impression d'avoir passé sa journée à la voir les fesses collées au sol.
Au contact de sa main, il sentit la chaleur de sa peau dans sa paume. Elle était toute douce, comme celle d'une princesse. Les doigts de Calliopë étaient calleux, du fait de tous les travaux qui lui incombait de faire dans la maisonnée de ses maîtres.
- Tu vas bien ? Tu n'es pas blessée j'espère. Mais tu saignes !
Avec horreur il vit que le genou de la fille était éraflé et du sang coulait lentement le long de sa jambe. Il sortit promptement un mouchoir et le lui tendit.
- Tu peux marcher ?

Quand Calli m'avais relever j'étais bizarrement toute rouge mais c'est pas grave il a pas vu.

<<Oui, oui ça va. A oui je saigne j'avais pas vue. Ça vas aller ne t'en fait c'est juste une égratignure cale m'arrive souvent.>>

Je lui souris ce sourire qui ne se décollait jamais de son visage. Et je ne sais pas ce qui m'as pris mais je le pris dans mes bras et lui murmuras :

<<Tu as compris qu'il fallait me tutoyer c'est bien>>

J’explose de rire pour je ne sais qu'elle raison. Je resserras mon entrait sur lui et le lâcha car je vais finir par l'étouffer la pauvre et puis je suis encore plus rouge que la second d’avant.

Je m’éloigna légèrement et fit passer une brise sur mon genoux pour calmer mon égratignure car elle commençais a me piquer.
-Il ne faut pas... Il ne faut pas recommencer, s'il te plait.
Je me sentis gêner mais je comprenais ça position enfin je crois que je comprenais. Disons que je suis très lente du cerveau quand je suis pas en mode princesse car je me fiche de tout ça alors mon cerveau est au ralentit ci on peut dire cela.
-Bon si on continuais d'avancer ça te dit on est presque arriver
J'avais dit cela sens même le regardais car j'étais encore trop honteuse de ce que je venais faire. Je baisses les yeux et tombas encore par terre et cette fois la raison fut je ne sais quoi. J'ouvre les yeux et vois que je suis encore sur les fesses enfaites je crois que c'est ma jambe qui viens de lâcher non mais c'est un monde cela.

Il venais de me hisser sur sont dos et me porta. Je crois que je suis trop lourde car je vois qu'il a le dos courbe je veut pas lui créé de problème mais il a pas l'aire de vouloir me lâcher.

<<C'est la porte qui est la puis faut entre dans la chambre numéros 1.>> Soupirais-je.

On entra dans le dortoir émeraude. L’ambiance été calme j'y crois pas il n'y a pas un bruit dans le dortoir c'est pas possible je croit que je vais faire une attaque. On entra dans la chambre et je ne vit personne ce qui explique pourquoi il n'y a pas de bruit. Je lui montre la porte de ma chambre puis il entre. Il me pose sur mon lit.

Calliopë déposa délicatement la princesse dans son lit. Ils n'avaient croisé personne sur le chemin. Pourquoi fallait-il que tout le monde soit ailleurs à ce moment-là ? On aurait pu aller chercher l'infirmière plus rapidement comme ça ! Raff n'avait pas l'air d'aller bien et le garçon hésitait à la laisser toute seule. Pourtant il fallait bien que quelqu'un prévienne l'école de ce qui se passait.
- Est-ce que ça va aller ? Je reviens tout de suite dès que j'aurai trouvé quelqu'un. Il te faut quelque chose ?